No. 1
Le parc Stanley
Un incontournable de Vancouver, particulièrement pour les familles. On y découvre des jardins colorés selon la saison, un champ de totems qui racontent l’histoire des Premières Nations, l’Aquarium de Vancouver (le plus grand du pays), des plages, des sentiers pédestres, des voies cyclables et des espaces verts qui offrent des équipements récréatifs idéaux pour petits et grands.

Parc Stanley © Amélie Racine
On loue des bicyclettes pour la journée et on fait le tour du parc. Plusieurs boutiques de vélos se trouvant à proximité des pistes cyclables offrent la possibilité d’effectuer une location.
No. 2
La station Whistler-Blackcomb
Un détour vers les montagnes qui vaut le déplacement. Elle se situe à environ 120 km de Vancouver, alors il faut prévoir toute une journée pour profiter pleinement de l’excursion.
Ceux qui disposent de plus de temps peuvent également considérer y rester une nuit ou deux afin d’y faire davantage d’activités.
On prend les gondoles Peak 2 Peak pour traverser les nuages et atteindre les sommets enneigés.
Si l’on prévoit apporter une grosse poussette, il faut savoir que certains versants de la montagne ne seront pas accessibles étant donné qu’on s’y rend en remonte-pente. Si l’on choisit de l’apporter malgré tout, on accède quand même à plusieurs sentiers et chalets dans lesquels on retrouve tous les services de restauration.

La station Whistler-Blackcomb © Amélie Racine
No. 3
Le Parc du pont suspendu de Capilano
Le Parc du pont suspendu de Capilano nous hisse à 70 mètres au-dessus de la rivière Capilano. La traversée du pont n’est pas la seule attraction du parc. On retrouve sept autres petits ponts suspendus qui permettent de circuler d’arbre en arbre. On y passe facilement une demi-journée.

Le Parc du pont suspendu de Capilano © Amélie Racine
Pour les plus petits, on prévoit un porte-bébé, car il est impossible de traverser avec une poussette.
Pour les jeunes explorateurs, on s’informe à propos du programme Kids Rainforest Explorer afin d’éveiller leur curiosité à propos du lieu qu’il découvre.

Le Parc du pont suspendu de Capilano © Amélie Racine
Où se loger?
Durant notre séjour, nous avons opté pour le quartier Coal Harbour pour sa proximité au Parc Stanley, au bord de l’eau et à la route 99. On a particulièrement apprécié d’être un peu à l’écart du centre-ville, d’avoir la possibilité de tout faire à pied et de profiter d’une superbe vue sur la baie et les montagnes.
Pour éviter de prendre la voiture à chaque sortie, on privilégie un quartier situé près des points d’intérêts et des services. Si l’on prévoit faire plusieurs excursions à l’extérieur de la ville, on tente de se rapprocher des routes d’accès afin d’éviter les zones plus sensibles à la congestion.

Quartier Coal Harbour © Amélie Racine
D’autres ressources pour s’informer
Afin de trouver d’autres activités à faire avec les enfants, on consulte aussi :
- L’article très complet Vancouver pour tous de Taxi-Brousse (que nous aimons beaucoup!) pour de bonnes adresses;
- L’article « Vancouver : avec des enfants» de Lonely Planet;
- La section « family » de Inside Vancouver;
- le site Web de l’Office de tourisme de Vancouver et ses pages officielles sur les médias sociaux : Facebook, Twitter, Instagram, YouTube.
Vancouver © Amélie Racine
Pour découvrir davantage l’Ouest canadien :
- L’Ouest canadien en famille : activités, coups de cœur et astuces!;
- L’Ouest canadien : 4 activités pour découvrir la région de Kelowna!;
- L’Ouest canadien : 3 coups de cœur dans la région de Golden et des parcs nationaux.
Amélie Racine
Collaboration spéciale
Amélie est la maman de deux garçons : un de 4 ans et un nouveau-né. Les voyages comptent parmi les plus belles expériences qui ont ponctué son enfance, sa jeunesse et sa vie d’adulte. Aujourd’hui, elle souhaite que ses enfants profitent de cette même chance et qu’ils découvrent le monde quel que soit leur âge. Sa passion pour le voyage a influencé son choix de carrière. Dès la fin de ses études au début des années 2000, elle a occupé différents postes dans l’industrie touristique. Depuis 2010, elle travaille pour la Chaire de tourisme Transat ESG-UQAM à titre d’analyste en veille stratégique pour le Réseau de veille en tourisme.