No. 1
Bien choisir son aéroport de correspondance (lorsque possible)
Certains aéroports sont mieux organisés que d’autres, ont des procédures plus fluides et/ou de moindres chances d’être affectés par des facteurs météorologiques.
On prend soin de se renseigner sur les expériences de parents voyageurs sur des forums et des groupes de discussions.
La Global Gateway Alliance, un organisme qui milite pour l’amélioration des aéroports new-yorkais, publie annuellement un classement des aéroports internationaux américains où les vols sont les plus ponctuels.
On y note année après année que les aéroports de la région de New York et celui de Chicago figurent parmi ceux cumulant le plus de retard. Plusieurs facteurs expliquent le tout, tel que la météo. Si notre départ est en plein coeur de l’hiver, on choisit un aéroport dans une région moins propice aux tempêtes.
No. 2
Valider le terminal d’arrivée et de départ
Avant de réserver un vol, prenons soin de valider que le terminal d’arrivée est le même que celui du départ de notre prochain vol.
Si ce n’est pas le cas, il faut prévoir assez de temps pour pouvoir se rendre à l’autre terminal, ce qui implique parfois de devoir prendre une navette.
Sur leur site web, plusieurs aéroports offrent un outil calculateur de distance entre le point d’arrivée et le point de départ. L’outil de planification des correspondancesCDGFacile, de l’Aéroport Charles de Gaule à Paris, en est un exemple.
No. 3
Valider l’enregistrement des valises jusqu’à la destination finale
On s’assure, lorsque possible, que nos valises soient enregistrées jusqu’à notre destination finale. Ainsi, nous aurons un souci de moins entre les deux vols. On prend soin de se renseigner.
On note également que si l’on arrive au Canada sur un vol international en correspondance à Toronto par exemple (à destination finale de Montréal), les valises devront être récupérées et les douanes devront être passées à Toronto avant l’embarquement sur notre dernier vol vers Montréal. Il faut donc prévoir le temps nécessaire.
No. 4
Des services aéroportuaires à considérer
On se renseigne sur les services offerts aux familles. Par exemple, l’aéroport de Zurich en Suisse offre un coin « Family Service », ce qui peut vraiment valoir la peine pour profiter d’un certain confort entre les vols. L’aéroport de Hanoï au Vietnam a un parc intérieur complet pour les enfants, où glisser et se balancer entre deux portes d’embarquement devient un jeu d’enfant. Celui de Taïwan propose des douches gratuites disponibles pour une toilette rafraîchissante en plus d’avoir installé des modules de jeux un peu partout. L’aéroport de Punta Cana offre une agréable aire de jeu à l’extérieur.
© Aire de jeux à l’aéroport de Punta Cana
On visite le site web de chaque aéroport afin de bien faire son choix lorsque possible.
No. 5
Bien planifier son temps entre les correspondances
Le temps minimal entre chaque correspondance varie pour chaque transporteur, selon la destination et le trajet (vol domestique, vol en correspondance vers les États-Unis, vol en correspondance vers l’international, etc…). En moyenne, il faut prévoir de 50 minutes à 1 h 20, selon les critères variables précédents, afin d’assurer la réservation du vol.
Par contre, lorsque l’on voyage en famille, nous nous devons de toujours prévoir l’imprévisible. S’assurer de bonifier le temps minimal est un très bon conseil. On se garde du temps pour dégourdir les jambes des petits et nous rendre sans stress au prochain point d’embarquement.
L’outil offert dans la section « Temps de correspondance minimaux » du site de Air Canada est efficace pour calculer le temps à prévoir.
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Une longue correspondance? On consulte le site Guide to Sleeping in Airports où l’on y retrouve des guides détaillés par aéroports.